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6.
Accompagnement de fin de vie

Activité disponible second semestre 2019

La fin de la vie terrestre devrait toujours être entourée de douceur, de tendresse et d’attention même si le contexte reste saisissant et peut être terrible.

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Accompagner la vie jusqu’au bout, avec des méthodes complémentaires aux soins allopathiques existants.

 

Aider le patient à partir en paix et soutenir la famille moralement et/ou énergétiquement est le but. La complémentarité est de mise.

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La dimension du Toucher Empathique  est parfois la seule façon de détendre une personne trop douloureuse et lui permettre un moment de répit. Mais ces soins peuvent se faire à distance.

 

Comment aider la personne à partir le mieux possible, et pourquoi ?

 

Les difficultés de l’accompagnement de fin de vie : Le tabou de la mort

 

En Occident, on constate souvent que l’approche de la mort n’est pas en correspondance avec ce que souhaite profondément la personne qui va partir. Mais aussi ce dont elle a profondément besoin.

Tant de souffrances, et c’est très humain, émergent : la personne doit « faire le deuil » de sa vie, de ses projets, etc.

On ne sait pas quoi lui dire, comment répondre aux questions qu’elle se pose et qui peuvent être, aussi, existentielles.

Bref, on ne sait pas comment lui offrir l’ouverture dont elle a besoin pour aller chercher en elle ses réponses.

 

La mort est aussi un tabou : on nie sa venue. On ne doit pas parler de cette échéance qui approche. On ne laisse pas la place à l’expression du chagrin.

 

Les oublis involontaires

Souvent, on ne pense même pas à préparer l’inéluctable. Ainsi, on ne pense pas à demander au mourant s’il veut une cérémonie. Où ? Comment ? Avec qui ? En fait, une fois la personne décédée, on est amené à faire des choses dont on ne sait pas, finalement, si elle était d’accord avec.

 

Ensuite, il faut toujours faire les choses rapidement. Par exemple, libérer la chambre de l’hôpital, car un autre patient attend pour prendre la place. Pour les proches aussi, ce n’est pas facile !

 

Finalement, le temps du mourir n’est plus respecté, et on occulte l’essentiel de la personne qui s’en va : la recherche de sa dimension profonde, c’est-à-dire son spirituel. Pour cela, elle a souvent besoin d’un accompagnement de maturation psychologique.

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La pleine présence : une qualité essentielle

Des qualités sont essentielles pour bien effectuer un accompagnement de fin de vie : une qualité d’écoute, et du regard aussi.

Surtout, une qualité de présence : être une pleine présence pour la personne.

Il ne s’agit pas d’être d’accord ou pas avec ce que dit / fait / a fait la personne dans sa vie. Mais de lui faire quitter ses états émotionnels conflictuels pour qu’elle trouve l’apaisement au moment de partir. En un mot, offrir une résonance de pleine présence à la personne, afin qu’elle s’ouvre à elle-même.

 

Il faut donc qu’elle puisse avoir cette maturation psychologique nécessaire, la faisant appréhender le plus sereinement possible cette fin de vie imminente, lui faire comprendre qu'il ne s'agit pas d'une mort comme on nous l'enseigne, mais d'une dé-corporisation, une nouvelle naissance autre part, où nous allons très certainement revoir d'anciennes amitiés et famille.

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Il faut donc déjà avoir fait un travail sur soi, et avoir suivi une formation adéquate pour proposer un accompagnement de fin de vie.

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N’hésitez pas à me contacter.

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* Accompagnement animalier

En fin de vie animale, nos amis à 4 pattes peuvent bénéficier des mêmes soins énergétiques pour les mêmes raisons.

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